L’Église catholique profondément divisée pendant la dictature argentine

ARGENTINE
la Croix (France)

Tandis qu’une partie du clergé soutenait le régime militaire et qu’une autre s’engageait dans des mouvements contestataires, la majorité des clercs et des laïcs préférait se tenir à distance.

En 1970, alors que le général Juan Perón est exilé depuis 1955 et que la situation économique ne cesse de se dégrader en Argentine, deux grands mouvements contestataires se créent : l’Armée révolutionnaire du peuple, d’inspiration marxiste-léniniste, et les « Montoneros », d’inspiration péroniste, qui rassemblent de nombreux jeunes chrétiens. Ces deux mouvements, pour secouer le pays et le gouvernement déliquescent, lancent des actions violentes contre l’armée, la police et certains hommes d’affaires. Avec l’appui des institutions argentines, les militaires arrêtent, puis condamnent les responsables de ces mouvements et autres groupes armés

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