FRANCE
20 Minutes
[By creating their association The Liberated Word (La Parole Liberee), alleged victims of Father Bernard Preynat wanted to get to the truth and break the code of silence around these alleged acts of pedophilia, that remained silent for over 25 years. Some weeks later, their case is widely publicized and relayed on social networks. The Lyon church has been plunted into turmoil.]
Elisa Frisullo
Publié le 16.02.2016
En créant leur association La Parole Libérée, les victimes présumées du père Bernard Preynat voulaient faire éclater la vérité et briser l’omerta autour de ces faits présumés de pédophilie, tus pendant plus de 25 ans. Quelques semaines plus tard, leur affaire, largement médiatisée et relayée sur les réseaux sociaux, a plongé l’église lyonnaise en pleine tourmente.
Un grand malaise qui n’épargne pas l’archevêque de Lyon, Philippe Barbarin, dont la stratégie de communication bien périlleuse de ces dernières semaines démontre tout l’embarras du diocèse sur ce sujet. A tel point qu’une proche du Primat des Gaules évoque même aujourd’hui une éventuelle démission…
Une affaire révélée par le diocèse de Lyon
En octobre dernier, c’est le diocèse de Lyon lui-même qui a médiatisé cette affaire, après l’ouverture d’une enquête préliminaire sur des faits présumés d’agressions sexuelles reprochés par d’anciens scouts du groupe Saint-Luc de Sainte-Foy-les Lyon au prêtre Bernard Preynat, 70 ans. L’archevêque de Lyon avait alors vivement condamné « des actes qui ont atteint des jeunes dans leur vie intime ».
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